Pulsations - adolescents https://pulsations.hug.ch/mots-cles/adolescents fr Les pouvoirs de la cryoanalgésie https://pulsations.hug.ch/article-pro/les-pouvoirs-de-la-cryoanalgesie <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Clémentine Fitaire</li></ul></section><div class="field field-name-field-introduction field-type-text-long field-label-hidden view-mode-rss"> <div class="field-items"> <div class="field-item even"> <p>Cette technique, utilisée dans le cadre du traitement du <em>pectus excavatum</em>, réduit les douleurs postopératoires et les durées d’hospitalisation. Le Service de chirurgie de l’enfant et de l’adolescent est le premier en Suisse à avoir utilisé cette technique. </p> </div> </div> </div> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>Près d’un enfant sur 250 – le plus souvent de sexe masculin – naît avec une déformation de la cage thoracique (<em>pectus excavatum</em>), caractérisée par un creux sternal parfois très profond qui peut, au-delà de son aspect inesthétique, perturber les fonctions cardiaques et pulmonaires. À l’adolescence, il est parfois nécessaire de pratiquer une intervention mini-invasive par thoracoscopie, la procédure de Nuss. Cette opération corrige la déformation par introduction d’une ou plusieurs barres métalliques sous le sternum. « Elle est particulièrement douloureuse et nous pouvons désormais soulager les patients et patientes grâce à la cryoanalgésie », explique le Dr Jim Wilde, médecin adjoint à l’Unité de chirurgie pédiatrique du Service de chirurgie de l’enfant et de l’adolescent, et premier chirurgien pédiatrique à avoir employé cette technique en Suisse. </p> <p>Autorisée depuis 2022 pour réduire les douleurs postopératoires lors d’une thoracotomie ou d’une procédure de Nuss, la cryoanalgésie consiste à effectuer un blocage du signal nerveux de manière temporaire dans la région thoracique. « À l’aide d’une sonde à usage unique, nous gelons les nerfs intercostaux entre les niveaux D3 et D8, durant deux minutes, à -70 degrés », précise le spécialiste. </p> <h2>Une hospitalisation réduite de huit à deux jours </h2> <p>Les effets de la cryoanalgésie calment la douleur durant trois à six mois, un bénéfice significatif pour la ou le patient. Le temps d’hospitalisation est aussi plus court et la récupération plus rapide. De plus, le recours aux antidouleurs tels que la morphine est moins fréquent. « Auparavant, nous utilisions une analgésie de type péridural et l’enfant était hospitalisé durant une semaine. Avec cette technique, les jeunes peuvent marcher le lendemain de l’opération, et retourner à leur domicile le surlendemain. C’est vraiment un apport considérable pour la prise en charge et, aujourd’hui, il est pour moi inconcevable de réaliser une procédure de Nuss sans cryoanalgésie », conclut le Dr Wilde, qui œuvre à former d’autres spécialistes en chirurgie pédiatrique à cette technique.</p> </div></div></div><div class="field field-name-field-blocs-supplementaires field-type-entityreference field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even"><article id="node-3347" class="node node-content-stat-bloc article odd node-default clearfix" about="/content/statbloc-3347" typeof="sioc:Item foaf:Document" role="article"> <div class="node-content" style="font-size:100px"> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-default"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><h2>Le chiffre </h2> <p>Entre 15 et 25 opérations de Nuss sont réalisées aux HUG chaque année. </p> </div></div></div> </div> </article> </div><div class="field-item odd"><article id="node-3351" class="node node-content-basic-bloc article even node-default clearfix" about="/content/contentbasicbloc-3351" typeof="sioc:Item foaf:Document" role="article"> <div class="node-content"> <div class="field field-name-field-body field-type-text-long field-label-hidden view-mode-default"><div class="field-items"><div class="field-item even"><p>Plus d’informations sur le Service de chirurgie de l’enfant et de l’adolescent :<br /><a href="https://enfants-ados.hug.ch/chirurgie-pediatrique" target="_blank">https://enfants-ados.hug.ch/chirurgie-pediatrique</a><br />Tél : +41 (0)22 372 40 01</p> </div></div></div> </div> </article> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even"><a href="/mots-cles/cryoanalgesie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">cryoanalgésie</a></li><li class="field-item odd"><a href="/mots-cles/chirurgie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">chirurgie</a></li><li class="field-item even"><a href="/mots-cles/pediatrie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">pédiatrie</a></li><li class="field-item odd"><a href="/mots-cles/adolescents" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">adolescents</a></li></ul></section> Wed, 12 Feb 2025 18:30:00 +0000 lbgb 3348 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article-pro/les-pouvoirs-de-la-cryoanalgesie#comments Comprendre les crises des ados pour mieux les gérer https://pulsations.hug.ch/article/comprendre-les-crises-des-ados-pour-mieux-les-gerer <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Clémence Lamirand</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">DR</li></ul></section><div class="field field-name-field-introduction field-type-text-long field-label-hidden view-mode-rss"> <div class="field-items"> <div class="field-item even"> <p>À l’adolescence, les jeunes changent, dans leur corps comme dans leur tête. Ces modifications sont dictées par des paramètres physiologiques. Un point que les parents ne devraient pas perdre de vue pour mieux comprendre leur enfant et, peut-être, plus facilement accepter ses excès.</p> </div> </div> </div> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>L'adolescence est un bouleversement, avec des moments de crise plus ou moins forts. Il y a une transformation du corps, visible, liée à des poussées d’hormones. Mais aussi des modifications neuronales. En effet, une immaturité au niveau du cerveau, notamment dans une zone responsable de l’inhibition de certaines réactions, peut engendrer des difficultés dans la gestion des émotions. «Cette immaturité du cortex préfrontal, sorte de frein neurologique, peut faciliter des comportements désinhibés jusqu’à favoriser divers passages à l’acte», introduit la Dre Anne Edan, médecin adjointe aux HUG et responsable de <a href="https://www.hug.ch/enfants-ados/pedopsychiatrie/malatavie-unite-crise-pour-ados" target="_blank">MALATAVIE unité de crise</a>.</p> <h2>Tout un chantier à réorganiser</h2> <p>Émergent aussi durant cette période de vulnérabilité toutes les questions autour de la sexualité. Celle-ci «redevient, après un premier questionnement au cours de la petite enfance, un enjeu majeur pour les adolescentes et les adolescents», note la Dre Edan. Mais surviennent également des interrogations autour de l’identité et de la place occupée par le ou la jeune, que ce soit au sein de sa famille ou plus largement de la société. «Tous ces paramètres sont en chantier au moment de l’adolescence, ce qui peut générer des difficultés et de l’anxiété. Un nouvel équilibre doit être trouvé et l’entourage peut aider», résume la psychiatre.</p> <h2>Côté parents, tolérance et confiance</h2> <p>Il est d’abord important, pour la spécialiste, de reconnaître que cet âge n’est pas simple et que les responsables de ces tempêtes émotionnelles, très variables d’un ou une ado à l’autre, sont connus. «Le regard des parents sur leur enfant qui grandit devrait être tolérant et indulgent, y compris face à certains comportements excessifs. Ils se doivent de soutenir leur ado et de lui montrer leur affection et leur confiance en lui ou elle», estime la Dre Edan. Les parents peuvent prendre le temps de discuter, d’être à l’écoute et de partager des moments de complicité. «Et il peut être utile de rappeler à son enfant que les émotions qu’il ou elle ressent ne vont pas forcément s’installer dans le temps», propose la médecin.</p> <p>Les parents ont aussi tout intérêt à essayer d’instaurer le meilleur climat possible de confiance, leur enfant ayant besoin de celle-ci dans ses relations familiales, mais aussi vis-à-vis du système scolaire ou encore de l’avenir. «La confiance concerne aussi directement les parents. Il est important, dans cette période mouvementée, de croire en ses capacités parentales», ajoute la Dre Edan.</p> <p>Enfin, si la tempête émotionnelle devient trop forte ou le mal-être trop grand, il ne faut pas hésiter à chercher du soutien. Auprès de proches, de la famille ou de professionnels et professionnelles de santé. «Cette période ne doit en aucun cas être sous-estimée. Toutefois, personne ne grandit sans crise. L’important est d’essayer de la traverser au mieux, avec le moins de remous possibles et, si nécessaire, avec une aide extérieure», conclut la Dre Edan.</p> </div></div></div><div class="field field-name-field-blocs-supplementaires field-type-entityreference field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even"><article id="node-3189" class="node node-content-stat-bloc article odd node-default clearfix" about="/content/statbloc-3189" typeof="sioc:Item foaf:Document" role="article"> <div class="node-content" style="font-size:100px"> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-default"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><h2>Une période à haut potentiel !</h2> <p>À l’adolescence, le cerveau se modifie plus vite dans certaines zones que dans d’autres, ce qui rend quelques endroits particulièrement actifs, comme le système limbique, centre des émotions. «Le potentiel du cerveau à cette période de la vie est très important, sur le plan créatif comme intellectuel», décrit la Dre Anne Edan, médecin adjointe aux HUG et responsable de <a href="https://www.hug.ch/enfants-ados/pedopsychiatrie/malatavie-unite-crise-pour-ados" target="_blank">MALATAVIE unité de crise</a>. Mais cette caractéristique neurologique rendrait dans le même temps les jeunes plus vulnérables. «Là est tout le paradoxe : les adolescentes et adolescents ont de nouvelles capacités physiques, intellectuelles et émotionnelles très élevées et une vivacité d’esprit unique, mais ils et elles peuvent en même temps rencontrer des difficultés dans la gestion de leurs émotions», souligne la psychiatre.</p> </div></div></div> </div> </article> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/famille" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">famille</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/ados" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">ados</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/crise" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">crise</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/adolescents" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">adolescents</a></li></ul></section> Tue, 01 Oct 2024 08:59:00 +0000 admin 3190 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/comprendre-les-crises-des-ados-pour-mieux-les-gerer#comments Un site internet pour l’Hôpital des enfants https://pulsations.hug.ch/article/un-site-internet-pour-lhopital-des-enfants <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Giuseppe Costa</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">DR</li></ul></section><div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>Dédié aux parents, aux enfants, aux ados et à tous ceux et celles qui les soignent, le site internet de l’<a href="https://www.hug.ch/enfants-ados/" target="_blank">Hôpital des enfants</a> a été lancé le 7 juin dernier. Élaboré en collaboration avec des parents partenaires et avec toutes les équipes des services pédiatriques, ce site présente cet hôpital, ses activités de soins (<a href="https://www.hug.ch/enfants-ados/specialites-medicales-chirurgicales" target="_blank">45 spécialités médicales et chirurgicales</a>) et transmet toutes les informations pratiques pour, par exemple, préparer une hospitalisation.</p> <p>Vous y trouverez également des <a href="https://www.hug.ch/enfants-ados/hug-themes-infosante" target="_blank">brochures</a> et <a href="https://www.hug.ch/enfants-ados/videos-info-patients" target="_blank">vidéos</a> pour rassurer les enfants et les familiariser avec l’hôpital. Il regorge d’adresses utiles, de <a href="https://www.hug.ch/enfants-ados/conseils-infos-sante" target="_blank">conseils et d’informations sur la santé</a>. Les adolescents et adolescentes bénéficient par ailleurs d’un espace dédié pour répondre précisément à leurs besoins.</p> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/pediatrie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">pédiatrie</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/hopital-des-enfants" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">hôpital des enfants</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/parents" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">parents</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/adolescents" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">adolescents</a></li></ul></section> Thu, 30 Jun 2022 22:00:00 +0000 Anonyme 2172 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/un-site-internet-pour-lhopital-des-enfants#comments Garder espoir face au post-COVID https://pulsations.hug.ch/article/garder-espoir-face-au-post-covid <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Elisabeth Gordon</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Bogsch &amp; Bacco</li></ul></section><div class="field field-name-field-introduction field-type-text-long field-label-hidden view-mode-rss"> <div class="field-items"> <div class="field-item even"> <p>Les HUG ont mis en place deux consultations destinées l’une aux <a href="https://www.hug.ch/covid/long-covid" target="_blank">adultes</a>, l’autre aux <a href="https://www.hug.ch/pediatrie-generale/covid-long-chez-enfants" target="_blank">10-18 ans</a> qui ressentent toujours les effets du <a href="https://www.hug.ch/covid/maladie-covid-19" target="_blank">Covid-19</a> plusieurs semaines ou mois après avoir été infectés.</p> </div> </div> </div> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>« Je n’ai plus de fièvre et je suis beaucoup moins essoufflée qu’au début, mais ma fatigue est omniprésente et j’ai de la tachycardie quand je marche. » Corine, 43 ans, a été contaminée par le coronavirus en octobre dernier. Son infection est maîtrisée depuis longtemps, mais les nombreux signes de la maladie sont loin d’avoir tous disparu. C’est aussi le cas de Lidiana, une adolescente de 13 ans : « J’ai eu le Covid-19 en novembre et depuis, j’ai toujours des maux de tête et je fais souvent des malaises. » Des symptômes qui, contrairement à ce qui a parfois été insinué, n’ont rien d’imaginaire. Ils correspondent à une maladie maintenant reconnue par le monde médical, le « post-COVID » aussi connu sous de nom de « long Covid ».</p> <p>Comme Corine et Lidiana, de nombreuses personnes en souffrent, c’est-à-dire qu’elles ressentent toujours des effets liés au virus au moins quatre semaines – mais cela peut être plusieurs mois – après avoir contracté la maladie. Et cela « indépendamment de la sévérité de la phase aiguë de l’infection », souligne Mayssam Nehme, cheffe de clinique au <a href="https://www.hug.ch/node/666" target="_blank">Service de médecine de premier recours</a> et responsable de la <a href="https://www.hug.ch/covid/long-covid" target="_blank">consultation post-COVID</a> pour adultes. Parmi les symptômes les plus fréquents figurent la fatigue, la perte du goût et de l’odorat, la toux, les maux de tête et l’essoufflement. Mais il peut y en avoir bien d’autres, pulmonaires, cardiologiques, neurologiques, etc. « Ils sont similaires chez les adolescents et préadolescents, chez lesquels on constate cependant un peu plus de douleurs abdominales », précise Anne Perrin, cheffe de clinique au <a href="https://www.hug.ch/node/732" target="_blank">Service de pédiatrie</a> et coordinatrice de la <a href="https://www.hug.ch/node/28223" target="_blank">consultation post-COVID en pédiatrie</a>.</p> <h2>Deux consultations spécialisées</h2> <p>Pour suivre et soutenir les personnes concernées, les <a href="https://www.hug.ch/" target="_blank">HUG</a> ont mis en place deux consultations post-COVID, l’une en décembre 2020 pour les adultes, l’autre en mai 2021 pour les 10-18 ans. Après avoir été adressées par leur médecin ou leur pédiatre (seuls les adultes peuvent venir de leur propre chef), les personnes font l’objet « d’un examen clinique complet qui nous permet de préciser leurs symptômes, mais aussi d’exclure d’autres maladies. Puis nous discutons des cas lors d’un colloque multidisciplinaire réunissant divers spécialistes (pneumologie, neurologie, cardiologie, maladies infectieuses, médecine interne générale, ORL, rhumatologie, psychiatrie, etc.) », explique la Dre Nehme. Quant à la prise en charge, « à l’heure actuelle, elle ne consiste pas en des traitements médicamenteux spécifiques, mais plutôt en un accompagnement et une réadaptation », poursuit la médecin. Corine peut en témoigner : « Je fais de la physiothérapie, car j’ai perdu tous mes muscles. Et je suis aussi suivie par un psychiatre pour ne pas tomber en dépression. »</p> <p>En pédiatrie se pose aussi le problème des études. « Certains de mes patients n’ont pas pu aller à l’école pendant plusieurs mois, d’autres y sont allés à temps partiel et chez celles et ceux qui ont pu suivre tous les cours, les résultats scolaires ont souvent chuté », constate Anne Perrin. Lidiana, elle, a réussi son année. Non sans mal car, dit-elle, « mes symptômes me gênent. J’ai du mal à me concentrer à cause de mes maux de tête et quand je fais du sport, je suis plus essoufflée qu’avant ». La pédiatre prend donc soin de « communiquer avec les écoles, afin d’expliquer aux enseignants les difficultés que rencontrent leurs élèves ».</p> <p>Fort heureusement, à mesure que les mois passent, la plupart des symptômes ont tendance à s’estomper. « Mon état de santé va vers le mieux, il faut garder espoir », conclut Corinne.<br /> </p> </div></div></div><div class="field field-name-field-blocs-supplementaires field-type-entityreference field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even"><article id="node-1779" class="node node-content-stat-bloc article even node-default clearfix" about="/content/statbloc-1779" typeof="sioc:Item foaf:Document" role="article"> <div class="node-content" style="font-size:100px"> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-default"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><h2>Fatigue persistante</h2> <p>Environ un tiers des personnes présentaient encore des symptômes sept à neuf mois après avoir été infectées par le coronavirus. C’est la conclusion d’équipes des HUG et de l’<a href="https://www.unige.ch/medecine/fr/" target="_blank">Université de Genève</a> qui ont suivi 410 personnes n’ayant pas été hospitalisées. Parmi ces personnes, 20,7 % étaient toujours fatiguées, près de 17 % avaient perdu le goût et l’odorat, 12 % étaient essouflé·es et 10 % avaient des maux de tête. « Toutes les catégories d’âge sont touchées, y compris les personnes jeunes et en bonne santé », précise Mayssam Nehme, cheffe de clinique au Service de médecine de premier recours.</p> </div></div></div> </div> </article> </div><div class="field-item odd"><article id="node-1780" class="node node-content-stat-bloc article odd node-default clearfix" about="/content/statbloc-1780" typeof="sioc:Item foaf:Document" role="article"> <div class="node-content" style="font-size:100px"> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-default"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><h2>Plateforme interactive</h2> <p>Les HUG ont développé une plateforme interactive d’information et d’échanges sur les symptômes persistants du Covid-19 : <a href="https://post-covid.hug.ch/">RAFAEL</a>.  Elle s’adresse aux patients et patientes, ainsi qu'aux professionnels et professionnelles de santé pour optimiser la prise en charge des personnes souffrant de séquelles. Rafael, qui a donné son nom à la plateforme, est un patient d’une quarantaine d’années ayant souffert d’insomnie pendant plusieurs semaines après sa guérison de l’infection au virus du Covid-19 contractée lors de la première vague à Genève. Il est l’un des premiers patients à avoir présenté des symptômes persistants après une infection aigüe en mars 2020. Ce projet a été financé par la <a href="https://www.fondationhug.org/" target="_blank">Fondation privée des HUG</a>.</p> </div></div></div> </div> </article> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/covid-19" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">Covid-19</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/covid-long" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">covid long</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/adolescents" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">adolescents</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/adultes" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">adultes</a></li></ul></section> Thu, 30 Sep 2021 22:00:00 +0000 admin 1781 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/garder-espoir-face-au-post-covid#comments Un lieu unique pour les adolescents https://pulsations.hug.ch/article/un-lieu-unique-pour-les-adolescents <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Clémentine Fitaire</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">iStockphoto</li></ul></section><div class="field field-name-field-introduction field-type-text-long field-label-hidden view-mode-rss"> <div class="field-items"> <div class="field-item even"> <p>Le grand projet de la <a href="https://mea.hug.ch/" target="_blank">Maison de l’enfant et de l’adolescent (MEA)</a> est pensé pour les jeunes. Il se fonde sur une approche globale avec des passerelles entre le monde médical, la vie sociale et le milieu culturel.</p> </div> </div> </div> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>C'est un projet unique en son genre en Europe, né d’une réflexion sur le parcours de soins et sur la nécessité d’intégrer la pédopsychiatrie dans la cité. Située entre la <a href="https://www.hug.ch/la-maternite" target="_blank">Maternité</a> et l’<a href="https://www.hug.ch/lhopital-des-enfants" target="_blank">Hôpital des enfants</a>, la MEA rassemblera le Service de pédopsychiatrie et celui de la médecine somatique pour les adolescents. «C’est une opportunité de réunir les soins sous un seul et même toit, en permettant des parcours de soins plus fluides pour les jeunes avec une psychopathologie, à partir de la période prénatale et jusqu’à 18 ans», confie la Pre Nadia Micali, médecin-cheffe du <a href="https://www.hug.ch/psychiatrie-enfant-adolescent" target="_blank">Service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent</a>.</p> <h2>Les jeunes au cœur de la cité</h2> <p>«L’idée novatrice est d’utiliser différents moyens pour aider l’enfant et l’adolescent dans leur guérison», explique la Pre Klara Posfay-Barbe, médecin-cheffe du <a href="https://www.hug.ch/pediatrie-generale" target="_blank">Service de pédiatrie générale</a>. Une partie du bâtiment, ouverte à tous, sera consacrée aux rendez-vous culturels et sportifs. «Le lieu permettra une approche plus globale, avec un espace de médiation, des salles de spectacle, un studio radio, un hall d’exposition, une cuisine, etc. La médiation et la culture peuvent être très utiles dans la prise en charge des patients avec une pathologie psychiatrique», ajoute Nadia Micali.</p> <p>«Maison» de l’enfant et de l’adolescent : le terme n’a pas été choisi au hasard. «Il ne s’agit pas d’un "hôpital" mais d’un lieu, ouvert sur la ville, où les jeunes seront accueillis et non stigmatisés», souligne la Pre Posfay-Barbe. Un espace dédié à l’enseignement et à la recherche sera également intégré au projet.</p> <h2>La première pierre déjà posée</h2> <p>À l’occasion de la <a href="https://mea.hug.ch/ceremonie-de-la-pose-de-la-premiere-pierre/" target="_blank">pose de la première pierre</a>, le 28 septembre 2020 sur l’ancien site de médecine dentaire, de jeunes patients ont pu enterrer, dans un geste symbolique, des objets de leur époque enfermés dans une «capsule temporelle». Le futur bâtiment, d’une surface de 12’600 m<sup>2</sup> répartis sur six étages, devrait ouvrir ses portes à l’été 2023. Il sera le fruit du bureau genevois CLR architectes, associé à l’architecte-paysagiste Pascal Heyraud, lauréats d’un concours lancé en 2016.</p> </div></div></div><div class="field field-name-field-blocs-supplementaires field-type-entityreference field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even"><article id="node-1571" class="node node-content-stat-bloc article even node-default clearfix" about="/content/statbloc-1571" typeof="sioc:Item foaf:Document" role="article"> <div class="node-content" style="font-size:100px"> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-default"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><h2>Un partenariat public-privé</h2> <p>Le budget de construction de la <a href="https://mea.hug.ch/" target="_blank">Maison de l’enfant et de l’adolescent (MEA)</a>, estimé à 82 millions de francs, est financé à la fois par des partenaires privés, par la <a href="https://www.childrenaction.org/" target="_blank">Fondation Children Action</a>, par une fondation privée genevoise, ainsi que par des donateurs.</p> </div></div></div> </div> </article> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/pedopsychiatrie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">pédopsychiatrie</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/adolescents" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">adolescents</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/maison-de-lenfant-et-de-ladolescent" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">Maison de l’enfant et de l’adolescent</a></li></ul></section> Thu, 01 Apr 2021 08:07:52 +0000 admin 1572 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/un-lieu-unique-pour-les-adolescents#comments « On m’a appris à prendre en main ma maladie » https://pulsations.hug.ch/article/prendre-en-main-maladie <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Clémentine Fitaire</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Andrea De Santis</li></ul></section><div class="field field-name-field-introduction field-type-text-long field-label-hidden view-mode-rss"> <div class="field-items"> <div class="field-item even"> <p>Parce que l’on ne reste pas toute sa vie un enfant, des consultations de transition sont mises en place entre les services pédiatriques et adultes. Des passerelles bénéfiques non seulement pour les patients, mais aussi pour leurs familles et l’équipe soignante.</p> </div> </div> </div> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>« J’étais très proche du pédiatre qui me suivait dans l’unité enfant, et j’espérais vraiment retrouver un médecin semblable chez les adultes. » Comme le raconte Ana, 17 ans, suivie à l’<a href="https://www.hug.ch/specialites-pediatriques/gastro-enterologie-pediatrique" target="_blank">Unité de gastro-entérologie</a> pour une maladie de Crohn, passer de l’environnement pédiatrique au service adulte peut être déstabilisant. D’un monde où il est en quelque sorte couvé par une équipe très « maternante », où le mode de communication est adapté à son âge et où l’échange avec les parents est la règle, le jeune patient est soudain propulsé vers un univers d’adultes dans lequel il ne se reconnaît pas forcément.</p> <p>Par définition, l’adolescent n’est plus tout à fait un enfant, ni complètement un adulte, et traverse une période de transition à tous les niveaux : médical, mais aussi psychologique et physiologique. Depuis quelques années, des efforts ont été menés pour mettre en place des consultations spécifiques destinées à créer des passerelles entre les services spécialisés pédiatriques et adultes de la plupart des unités de l’hôpital : cardiologie, neurologie, néphrologie, gastro-entérologie, endocrinologie, diabétologie, etc. Conçue comme un passage progressif, la transition vers le service adulte est généralement enclenchée dès 14-15 ans, et parfois bien avant. « Tout dépend du patient, de sa maturité, mais aussi de sa situation médicale », explique la Dre Laetitia-Marie Petit, médecin adjointe à l’Unité de gastro-entérologie, hépatologie et nutrition pédiatriques.</p> <h2>Des passerelles qui restent ouvertes</h2> <p>Petit à petit, cette étape est abordée au cours d’une consultation de contrôle, ou des entretiens de transition sont organisés. Réalisés dans un premier temps par les équipes pédiatriques, ils sont ensuite menés conjointement avec les services adultes et renouvelés autant que nécessaire, avant d’aboutir au transfert définitif. « On ne se contente pas de passer un dossier d’un service à l’autre, insiste la Dre Sophie Restellini, cheffe de clinique du <a href="https://www.hug.ch/gastro-enterologie-hepatologie" target="_blank">Service de gastro-entérologie et hépatologie</a>. Nous continuons d’échanger après le transfert sur le cas de certains patients. » Vivre avec une maladie chronique durant l’enfance crée généralement un lien très fort entre le jeune, sa famille et le soignant, et « il est primordial de nouer à nouveau une telle relation de confiance avec un partenaire adulte », poursuit la spécialiste.</p> <p>Du succès de ce processus peut dépendre la suite de la prise en charge et même l’état de santé de la personne. « Les études ont montré que les consultations de transition évitent de "perdre de vue" des patients et diminuent le risque d’arrêt des soins ou des traitements, qui survient souvent à l’adolescence, rappelle le Pr Maurice Beghetti, médecin-chef du <a href="https://www.hug.ch/specialites-pediatriques" target="_blank">Service des spécialités pédiatriques</a>. Ce qui, dans le cas de certaines pathologies, peut potentiellement avoir des répercussions dramatiques. »</p> <p>L’objectif premier de cette phase est donc la responsabilisation et l’autonomisation de l’adolescent. Savoir expliquer sa maladie, connaître le nom des traitements, être sensibilisé aux conduites à risque, sont certains des points évalués lors des consultations de transition, afin de mesurer le degré de connaissance du patient sur sa santé. « Cette période m’a beaucoup fait grandir, confie Ana. On m’a appris à prendre en main ma maladie et plus largement ma santé. »<br /> </p> </div></div></div><div class="field field-name-field-blocs-supplementaires field-type-entityreference field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even"><article id="node-1210" class="node node-content-stat-bloc article odd node-default clearfix" about="/content/statbloc-1210" typeof="sioc:Item foaf:Document" role="article"> <div class="node-content" style="font-size:100px"> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-default"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><h2>Et les parents dans tout ça ?</h2> <p>« La transition est parfois difficile pour les parents, qui sont eux aussi très attachés à l’équipe soignante, explique le Pr Maurice Beghetti, médecin-chef du <a href="https://www.hug.ch/specialites-pediatriques" target="_blank">Service des spécialités pédiatriques</a>. Les services de pédiatrie font une grande place à la famille du patient, ce qui n’est pas toujours le cas dans les services adultes. » Au cours de la phase de transition, les parents sont ainsi amenés à laisser peu à peu leur enfant répondre aux questions, s’entretenir seul avec le médecin, participer à la prise de décision. « Finalement, cette transition médicale est une partie de la transition de vie générale traversée à l’adolescence par les jeunes et leur famille. »</p> </div></div></div> </div> </article> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/maladie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">maladie</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/pediatrie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">pédiatrie</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/enfants" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">enfants</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/adolescents" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">adolescents</a></li></ul></section> Tue, 01 Oct 2019 14:12:31 +0000 admin 1211 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/prendre-en-main-maladie#comments Hyperactivité et troubles de l’attention : soigner dès l’enfance https://pulsations.hug.ch/article/hyperactivite-et-troubles-de-lattention-soigner-des-lenfance <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Pulsations</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Pulsations</li></ul></section><div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>Dans son magazine TV de janvier 2019, Pulsations traite de l'hyperactivité et des troubles de l'attention, qui touche entre 3 et 7% des enfants et adolescents en Suisse.</p> <p>Des souffrances bien réelles qui impactent la vie quotidienne et qui trouvent leurs origines au cœur de notre cerveau.</p> <p>Aujourd’hui, celles et ceux qui en souffrent bénéficient d’une prise en charge aux HUG dès la petite enfance, une fois les troubles diagnostiqués.</p> <p>Ce mois-ci, Pulsations TV vous plonge au cœur des troubles de l’attention et de l’hyperactivité chez l’enfant et l’adolescent.</p> <p><iframe allowfullscreen="allowfullscreen" frameborder="0" height="393" src="https://www.youtube.com/embed/ORIwVq4iYx8" width="700"></iframe></p> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/hyperactivite" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">hyperactivité</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/troubles-de-lattention" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">troubles de l’attention</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/enfants" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">enfants</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/adolescents" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">adolescents</a></li></ul></section> Wed, 02 Jan 2019 14:53:01 +0000 admin 1016 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/hyperactivite-et-troubles-de-lattention-soigner-des-lenfance#comments Children Action lance Click4Help.ch https://pulsations.hug.ch/article/children-action-lance-click4helpch <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Giuseppe Costa</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Pulsations</li></ul></section><div class="field field-name-field-introduction field-type-text-long field-label-hidden view-mode-rss"> <div class="field-items"> <div class="field-item even"> <p>La Fondation Children Action a créé le site <a href="https://click4help.ch/" target="_blank">Click4Help.ch</a> afin de permettre aux jeunes âgés de 12 à 25 ans, à leurs familles et aux professionnels qui les entourent de trouver, en quelques clics seulement, l’information ou l’aide dont ils ont besoin parmi les quelque 200 structures du canton.</p> </div> </div> </div> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>Les sujets abordés : le suicide, le mal-être, les troubles du comportement, les violences, la sexualité, la famille, la scolarité ou encore les problèmes d’ordre social. La majorité de ces thèmes est déclinée en sous-catégories permettant d’affiner la recherche.</p> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/adolescents" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">adolescents</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/jeunes" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">jeunes</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/ressources" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">ressources</a></li></ul></section> Fri, 21 Jul 2017 14:27:19 +0000 admin 110 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/children-action-lance-click4helpch#comments